Le Rapport censuré, critique non autorisée d'un monde déréglé
EAN13
9782080686954
ISBN
978-2-08-068695-4
Éditeur
Flammarion
Date de publication
Collection
EnQuête
Nombre de pages
300
Dimensions
24 x 15,2 x 2 cm
Poids
375 g
Langue
français
Code dewey
364.168
Fiches UNIMARC
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Le Rapport censuré

critique non autorisée d'un monde déréglé

De

Flammarion

EnQuête

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LE RAPPORT CENSURÉ Jean de Maillard, magistrat, est l'un des meilleurs analystes européens dans le domaine de la criminalité internationale et du blanchiment d'argent. Il y a deux ans, cet expert farouchement indépendant a réalisé à la demande du ministère des Affaires étrangères une étude approfondie sur l'évolution actuelle de la mondialisation. Sa mission : dans le contexte sécuritaire induit par le 11 septembre, identifier toutes les conséquences des « nouvelles menaces » sur la situation internationale... Ses conclusions balaient toutes les idées reçues sur le sujet. Non seulement les institutions financières internationales et les grands États européens ou américains sont incapables d'enrayer une dérive illicite des échanges internationaux, mais ils la favorisent directement. À l'extérieur de leurs frontières, les États, en coulisse, élargissent toutes les zones de non-droit. On ne jugule plus les flux d'argent sale, ceux-ci sous-tendent, complètent et soutiennent avantageusement les flux d'argent propre avec lesquels ils se mélangent. Quand les théoriciens de la globalisation chantent les vertus du libre-échange porteur de paix, Jean de Maillard explore les voies par lesquelles les États maîtrisent discrètement les secteurs les plus stratégiques (tels que le pétrole ou les nouvelles technologies de l'information) en recourantrégulièrement à des moyens frauduleux, et délèguent leur souveraineté à des intérêts privés totalement incontrôlés. Jusqu'à donner naissance à une « économie trafiquante ». Son constat est froid, argumenté, rigoureux, dépassionné. Une plongée vertigineuse dans les arcanes de notre monde globalisé. Les conclusions de ce rapport, les voici.
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