Jacques Veissid raconte… Nénette ou Les affres de la vie conjugale
EAN13
9782402163613
Éditeur
FeniXX réédition numérique (J.-P. Mengès)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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Jacques Veissid raconte… Nénette ou Les affres de la vie conjugale

FeniXX réédition numérique (J.-P. Mengès)

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782402163613
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    6.99

  • Aide EAN13 : 9782402496940
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    6.99
Un soir, un voisin, très mécontent, vient se plaindre : — Votre chien a mordu
ma femme ! J’exige une réparation... — Bien sûr ! Que votre chien vienne
mordre ma femme quand il voudra ! Nénette avait une angine, j’avais appelé le
médecin. En arrivant devant la chambre, il me dit : — Votre femme doit être
bien malade... On l’entend râler d’ici. — Ça ne prouve rien, Docteur ! Si elle
n’avait pas été malade, c’est déjà dans l’escalier que vous l’auriez entendue
râler ! * La fille de la trésorière du M.L.F. venait de rentrer de son voyage
de noces, et naturellement sa mère l’interrogea sur sa vie conjugale. — Je
suis très contente, maman ! affirma-t-elle, mon mari me donne tout ce que je
lui demande. — Ma pauvre petite ! répondit la trésorière, ça prouve tout
simplement que tu ne lui demandes pas assez ! * Telles sont les mésaventures
conjugales de Jacques Veissid, l’humoriste dont les démêlés avec son épouse
Nénette sont légendaires. Après s’être défoulé, en présidant aux destinées de
l’Almanach Vermot, il livre ici les pages les plus déchirantes et les plus
loufoques qu’humoriste ait pu concevoir sur le sujet. Laissons-lui le mot de
la fin : Nénette, elle me téléphone, très en colère : — Abruti ! Qu’est-ce que
j’apprends ? // paraît que tu es encore en train d’écrire un livre
complètement débile sur moi ? Mais enfin, pauvre crétin ! Quand est-ce que tu
cesseras de raconter tous ces mensonges sur ta vie conjugale ? — Mais, Nénette
! que je lui réponds. Si je racontais la vérité, ça ne serait plus un livre
débile : ça serait un livre d’épouvante !
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