- EAN13
- 9782402024907
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Descartes & Cie)
- Date de publication
- 1995
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Changer d'ère : Progrès, déclin, transformation
Jean-Michel Blanquer
FeniXX réédition numérique (Descartes & Cie)
Livre numérique
Tout se transforme ! On peut s’en réjouir. Mais pourtant, en cette fin de
siècle, beaucoup ont l’impression que l’homme est la propre victime du
mouvement qu’il a généré lui-même, comme un dieu disparaissant de sa création.
Ce livre prend parti d’affirmer pourtant que l’homme n’est pas fini. L’auteur
a rencontré des acteurs et penseurs de divers champs pour prendre le pouls des
grandes transformations contemporaines *. L’hypothèse de départ est que
l’homme connaît aujourd’hui sa « quatrième blessure narcissique ». Après
Copernic, il a su qu’il n’était pas le centre de l’Univers ; après Darwin, il
a su qu’il n’était pas le centre de la Création ; après Freud, il a su qu’il
n’était pas même maître de ses mécanismes psychiques. Ces « blessures » ont
réduit l’homme à un noyau modeste, conscient de ses limites. Aujourd’hui, les
nouvelles technologies de l’information nous font regarder la planète comme
une sorte d’immense cerveau dont chaque habitant serait un neurone
interconnecté aux autres. C’est la quatrième blessure. Comme les précédentes,
elle est source de renouveau. Elle marque aussi le passage à un nouveau stade
de l’Histoire qu’il faut maintenant identifier.
siècle, beaucoup ont l’impression que l’homme est la propre victime du
mouvement qu’il a généré lui-même, comme un dieu disparaissant de sa création.
Ce livre prend parti d’affirmer pourtant que l’homme n’est pas fini. L’auteur
a rencontré des acteurs et penseurs de divers champs pour prendre le pouls des
grandes transformations contemporaines *. L’hypothèse de départ est que
l’homme connaît aujourd’hui sa « quatrième blessure narcissique ». Après
Copernic, il a su qu’il n’était pas le centre de l’Univers ; après Darwin, il
a su qu’il n’était pas le centre de la Création ; après Freud, il a su qu’il
n’était pas même maître de ses mécanismes psychiques. Ces « blessures » ont
réduit l’homme à un noyau modeste, conscient de ses limites. Aujourd’hui, les
nouvelles technologies de l’information nous font regarder la planète comme
une sorte d’immense cerveau dont chaque habitant serait un neurone
interconnecté aux autres. C’est la quatrième blessure. Comme les précédentes,
elle est source de renouveau. Elle marque aussi le passage à un nouveau stade
de l’Histoire qu’il faut maintenant identifier.
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