- EAN13
- 9782366820409
- Éditeur
- Éditions Gunten
- Date de publication
- 23/08/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Éditions Gunten 18,00
Faut pas croire qu’on passe sa vie à pleurer chez les Saulnier avec le grand «
Colère », les Bensedrine ou les Tomassi. Copains de chantier, patrons, chiens,
soif... Tant pis si le pain est dur, les factures impayées et les rêves
oubliés.
Seul importe de se tenir à hauteur d’homme même et surtout quand nécessité
fait loi. Colère et tous les autres vont posséder une richesse dont ils
n’avaient pas idée, la solidarité.
Cette histoire commence dans la rumeur montante d’une manif improbable tandis
qu’un cri gros comme un cœur enfle et éclate : « Prolétaires de tous les
pays... ». Celui de ce beau monde bat la chamade dans les pages de Gérard
Lambert qui les soulève les unes après les autres au gré d’une plume précise
et tenace.
Mais quand légèreté et humour soufflent en chemin un air brûlant c’est que
l’auteur engagé cache avec habileté le poing dans sa poche... l’opinel... dans
le saucisson.
Qu’il ne nous en veuille pas de le rapprocher d’illustres talents en mettant
le sien à nu, incontestable et unique.
« Autour du chantier, sous le voile de givre qui couvrait leurs branches nues
d’un manteau de diamants, les arbres s’en trouvaient tout ragaillardis. Deux
oiseaux chantaient : l’un était un merle perché dans un néflier du sous-bois
voisin ; l’autre, c’était Colère qui se donnait du cœur à l’ouvrage... Les
portes du pénitencier bientôt vont se refermer... »
Colère », les Bensedrine ou les Tomassi. Copains de chantier, patrons, chiens,
soif... Tant pis si le pain est dur, les factures impayées et les rêves
oubliés.
Seul importe de se tenir à hauteur d’homme même et surtout quand nécessité
fait loi. Colère et tous les autres vont posséder une richesse dont ils
n’avaient pas idée, la solidarité.
Cette histoire commence dans la rumeur montante d’une manif improbable tandis
qu’un cri gros comme un cœur enfle et éclate : « Prolétaires de tous les
pays... ». Celui de ce beau monde bat la chamade dans les pages de Gérard
Lambert qui les soulève les unes après les autres au gré d’une plume précise
et tenace.
Mais quand légèreté et humour soufflent en chemin un air brûlant c’est que
l’auteur engagé cache avec habileté le poing dans sa poche... l’opinel... dans
le saucisson.
Qu’il ne nous en veuille pas de le rapprocher d’illustres talents en mettant
le sien à nu, incontestable et unique.
« Autour du chantier, sous le voile de givre qui couvrait leurs branches nues
d’un manteau de diamants, les arbres s’en trouvaient tout ragaillardis. Deux
oiseaux chantaient : l’un était un merle perché dans un néflier du sous-bois
voisin ; l’autre, c’était Colère qui se donnait du cœur à l’ouvrage... Les
portes du pénitencier bientôt vont se refermer... »
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