- EAN13
- 9782307153733
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Del Duca)
- Date de publication
- 1963
- Collection
- Les grandes conspirations de l'Histoire
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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La conjuration d'Amboise
Jacques Debu-Bridel
FeniXX réédition numérique (Del Duca)
Les grandes conspirations de l'Histoire
Livre numérique
Auteur d’une Vie de la duchesse de Longueville (NRF), et des Journées de Paris
(tome I : De Philippe-Auguste à Louis XI ; tome II : De Louis XI à Henri IV ;
éditions Del Duca), mais également lauréat de l’Interallié en 1935 pour ses
romans Frère esclave et Jeunes ménages, Jacques Debû-Bridel s’est toujours
appliqué à distinguer fiction et Histoire. Les mêmes préoccupations sont
sensibles dans son nouveau livre La conjuration d’Amboise. Voici l’histoire
authentique, bouleversante d’une époque troublée : le début de la Réforme en
France. Désordre des esprits, naissance du capitalisme, misère de la petite
noblesse et de la paysannerie, affrontements idéologiques, politiques et
sociaux... Le premier acte du long drame des guerres de religion qui
ensanglantèrent la France. Les propos attribués, au cours de ce récit, aux
personnages historiques — Catherine de Médicis, François II, Elisabeth
d’Angleterre, les Guise, les Coligny, etc. — furent réellement tenus, si l’on
en croit du moins les historiens et chroniqueurs de l’époque. Tous les faits
rapportés sont également conformes aux événements. Dans cette résurrection du
passé, le domaine de l’imagination est limité à trois personnages secondaires
: l’auteur, de souche huguenote et normande, a évoqué, à travers ceux-ci, le
passé des siens. Fidèle à la méthode de Lytton Strachey, Jacques Debû-Bridel
s’est efforcé, à partir de la vérité des faits, d’atteindre une autre vérité :
celle de la psychologie des acteurs du drame historique.
(tome I : De Philippe-Auguste à Louis XI ; tome II : De Louis XI à Henri IV ;
éditions Del Duca), mais également lauréat de l’Interallié en 1935 pour ses
romans Frère esclave et Jeunes ménages, Jacques Debû-Bridel s’est toujours
appliqué à distinguer fiction et Histoire. Les mêmes préoccupations sont
sensibles dans son nouveau livre La conjuration d’Amboise. Voici l’histoire
authentique, bouleversante d’une époque troublée : le début de la Réforme en
France. Désordre des esprits, naissance du capitalisme, misère de la petite
noblesse et de la paysannerie, affrontements idéologiques, politiques et
sociaux... Le premier acte du long drame des guerres de religion qui
ensanglantèrent la France. Les propos attribués, au cours de ce récit, aux
personnages historiques — Catherine de Médicis, François II, Elisabeth
d’Angleterre, les Guise, les Coligny, etc. — furent réellement tenus, si l’on
en croit du moins les historiens et chroniqueurs de l’époque. Tous les faits
rapportés sont également conformes aux événements. Dans cette résurrection du
passé, le domaine de l’imagination est limité à trois personnages secondaires
: l’auteur, de souche huguenote et normande, a évoqué, à travers ceux-ci, le
passé des siens. Fidèle à la méthode de Lytton Strachey, Jacques Debû-Bridel
s’est efforcé, à partir de la vérité des faits, d’atteindre une autre vérité :
celle de la psychologie des acteurs du drame historique.
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