Kafka Hibino, relégué au nettoyage des cadavres de Kaiju qui encombrent la ville, rêve d’intégrer les Forces de Défense malgré ses nombreux échecs aux examens. Un jour une nouvelle opportunité s’offre à lui : une créature s’introduit dans son corps lui conférant des pouvoirs monstrueux... au dépend de son humanité ?

De l’humour à foison, des personnages attachants, une intrigue qui nous tient en haleine et des combats spectaculaires, voilà ce qu’est Kaiju N°8, du pur shōnen comme on aime !

Mike Horn, grand aventurier dont la renommée n’est plus à faire nous emmène ici dans sa dernière aventure Pole2Pole, qu’il dit être « son expédition la plus extrême ! » consistant à traverser le pôle Nord et le pôle Sud sans véhicules motorisé.

Dans sa forme d’écriture cet ouvrage nous rappelle son livre « Latitude zéro » avec son enchainement de péripéties, mais aussi de moments plus personnels donnant cette impression qu’il raconte son périple devant nous, créant une intimité véritable.

Ce livre nous subjugue, nous absorbe à tel point qu’on a l’impression de vivre nous-même cette aventure.

Malgré l'extraordinaire légende qui circule à son sujet, le Funiculi funicula n'est pas un lieu très fréquenté puisque pour retourner dans le passé, il faut respecter à un certain nombre de règles contraignantes.

Dans ce café assez particulier, nous faisons connaissance avec divers personnages, qui vont se succéder au rythme du « Ding-Dong » de la porte d'entrée. De jour en jour, avec subtilité, leurs personnalités se dévoilent, leurs blessures nous touchent, leurs histoires nous subjuguent et nous emportent dans un torrent d’émotions.

Klara est une jeune AA, une intelligence artificielle destinée au bien-être des enfants. Attendant impatiemment derrière sa vitrine celui ou celle qui la choisira, elle nous décrit ce monde qu’elle voit jusqu'à l'arrivée de Josie, une jeune adolescente qui jette son dévolu sur elle.
Commence alors une aventure humaine centrée sur l'amitié, l'amour et qui nous amène à une certaine réflexion sur le fait d'être remplaçable ou non.

Une écriture maitrisée ni trop simple, ni trop compliqué rendant cet ouvrage agréable et accessible à tous, le tout avec une excellente traduction. Les lieux sont variés mais pas trop détaillés, les personnages sont très attachants et très bien écrits.
Un roman que je conseille vraiment à ceux que le genre intéresse, qu'ils soient habitués ou néophytes.

« Mon mari » nous invite au sein de la vie d'un couple de quadragénaires, sans grandes vagues, du moins sur le papier.

Elle, voue une passion dévorante pour son homme, toujours follement amoureuse de lui depuis le premier jour, les acerbes épines de la jalousie toujours présentes, la peur de perdre, et surtout, un contrôle, un suivi de leur relation qui dépasse l'entendement.
Lui, au contraire semble être dans une évolution différente, il apprécie son quotidien sans tellement le remettre en question et ne parait pas être touché de ne plus ressentir les mêmes choses lorsqu'il embrasse sa femme, ou lorsqu'il la tient, nue, dans ses bras.

Un premier roman à l'écriture immersive qui nous happe du début à la fin et vous fera ressentir bien des émotions !