- EAN13
- 9782381140698
- ISBN
- 978-2-38114-069-8
- Éditeur
- Wildproject
- Date de publication
- 03/2024
- Collection
- Petite bibliothèque (1)
- Nombre de pages
- 96
- Dimensions
- 17,1 x 11,1 x 1 cm
- Poids
- 90 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Gaïa, sexe et catastrophe
et autres curiosités terrestres
De Lynn Margulis
Wildproject
Petite bibliothèque
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9.00
S’initier aux fondamentaux de l’histoire de la Terre
– à l’occasion des 50 ans de l’hypothèse Gaïa
. Avec une préface de Myriam Bahaffou.
« La sexualité, comme la symbiose, est l’une des expressions d’un phénomène universel, le principe qui consiste à mélanger et à réarranger. »
L’une des plus grandes catastrophes qu’ait connu Gaïa dans son histoire est la Grande Oxydation, il y a un milliard d’années. La vie terrestre, alors composée uniquement
de bactéries, a failli disparaître, sous l’affluence d’un déchet toxique produit par les bactéries elles-mêmes : l’oxygène. Pour survivre, nos ancêtres bactériens ont dû se regrouper et se recomposer, en se mélangeant, donnant
ainsi naissance aux êtres multicellulaires : les plantes et les animaux. Nous sommes tous les survivants de cette gigantesque extinction.
Avec cette mutation de la vie, le sexe lui aussi (c’est-à-dire l’échange de gènes) a profondément muté. Cette histoire est aussi la fondation de l’hypothèse Gaia, le modèle scientifique d’une planète vivante et autorégulatrice, pensée en tandem par Lynn Margulis et James
Lovelock.
– à l’occasion des 50 ans de l’hypothèse Gaïa
. Avec une préface de Myriam Bahaffou.
« La sexualité, comme la symbiose, est l’une des expressions d’un phénomène universel, le principe qui consiste à mélanger et à réarranger. »
L’une des plus grandes catastrophes qu’ait connu Gaïa dans son histoire est la Grande Oxydation, il y a un milliard d’années. La vie terrestre, alors composée uniquement
de bactéries, a failli disparaître, sous l’affluence d’un déchet toxique produit par les bactéries elles-mêmes : l’oxygène. Pour survivre, nos ancêtres bactériens ont dû se regrouper et se recomposer, en se mélangeant, donnant
ainsi naissance aux êtres multicellulaires : les plantes et les animaux. Nous sommes tous les survivants de cette gigantesque extinction.
Avec cette mutation de la vie, le sexe lui aussi (c’est-à-dire l’échange de gènes) a profondément muté. Cette histoire est aussi la fondation de l’hypothèse Gaia, le modèle scientifique d’une planète vivante et autorégulatrice, pensée en tandem par Lynn Margulis et James
Lovelock.
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