La cour de Téhéran, ou ne réveillez pas le chat qui dort
EAN13
9782360571932
ISBN
978-2-36057-193-2
Éditeur
Asiathèque
Date de publication
Collection
LITTERATURE (L'
Dimensions
21,7 x 13,4 x 2 cm
Poids
322 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

La cour de Téhéran, ou ne réveillez pas le chat qui dort

De

Asiathèque

Litterature (L'

Offres

Une curiosité de la littérature française du XIXème siècle : une pièce de théâtre sur la Perse de la cour des Qâjâr. Ouvrage bilingue français-persan et persan-français. Auteur de la pièce : Étienne Gilbert Eugène de Sartiges.  Texte adjoint : Le Journal de Jules Richard.  Introduction, traductions et commentaires : Nader Nasiri-Moghaddam. On suit ici pas à pas l'enquête littéraire pleine de rebondissements à laquelle s'est livré Nader Nasiri-Moghaddam. Découvrant dans un numéro de la Revue des Deux Mondes la pièce « La Cour de Téhéran ou Ne réveillez pas le chat qui dort » signée « Haçan Méhémet-Khan », de toute évidence un pseudonyme, il se livre à toutes sortes d'hypothèses sur son auteur, ce qui le mène vers le premier enseignant du français à l'École Polytechnique de Téhéran, Jules Richard. Celui-ci a écrit un journal intime, malheureusement perdu, et dont on ne possède plus que des fragments dans sa traduction en persan. Dans ce journal, Nader Nasiri-Moghaddam trouve certaines similitudes avec le contenu de la pièce de théâtre. Persuadé d'avoir résolu l'énigme, il se rend à la Bibliothèque Sainte-Geneviève pour consulter à nouveau le tome VII de la Revue des Deux Mondes contenant la pièce, mais on lui remet par erreur le tome qui contient la table générale de ladite revue pour lé période de 1831 à 1874. Et là, surprise, il découvre que le véritable auteur de la pièce est Etienne Gilbert Eugène de Sartiges. La pièce est donnée en français, en édition commentée, et dans sa traduction en persan. Figure aussi dans l'ouvrage le fac-similé de son édition dans la Revue des Deux Mondes. Nader Nasiri-Moghaddam complète la vision du lecteur sur l'époque, celle de Mohammad Shah Qâjâr (1834-1848), en lui donnant à lire dans sa traduction en persan, et dans sa version française reconstituée, le Journal de Jules Richard. L'introduction générale de l'ouvrage est aussi traduite en persan, La première partie du livre est consacrée aux textes en français et la seconde (à lire en sens inverse) aux textes en persan.
S'identifier pour envoyer des commentaires.