- EAN13
- 3328140021554
- Éditeur
- Des femmes-Antoinette Fouque
- Date de publication
- 29/06/2016
- Collection
- La Bibliothèque des voix
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Dans un sanatorium, en exil hors de la vie, une jeune femme reçoit une lettre
de l’homme qu’elle aime : « Je me marie… notre amitié demeure… ». Lucide,
sobre, précis, le livre est sa réponse. Avec un esprit et une sensibilité à
vif, aiguisés par la maladie, les insomnies et la proximité de la mort,
l’auteure analyse ce qu’a été leur histoire. Se dessine alors le portrait
d’une femme sensible, sincère, volontaire et d’une rare exigence qui, au plus
fort de la passion, aura su obstinément préserver « un petit coin qui ne vibre
pas », qui regarde, analyse, mesure et juge. « “Je me marie… Notre amitié
demeure…” Je ne sais pas ce qui s’est passé. Je suis restée tout à fait
immobile et la chambre a tourné autour de moi. Dans mon côté, là où j’ai mal,
peut-être un peu plus bas, j’ai cru qu’on coupait la chair lentement avec un
couteau très tranchant. La valeur de toute chose a été brusquement
transformée. » M.S.
de l’homme qu’elle aime : « Je me marie… notre amitié demeure… ». Lucide,
sobre, précis, le livre est sa réponse. Avec un esprit et une sensibilité à
vif, aiguisés par la maladie, les insomnies et la proximité de la mort,
l’auteure analyse ce qu’a été leur histoire. Se dessine alors le portrait
d’une femme sensible, sincère, volontaire et d’une rare exigence qui, au plus
fort de la passion, aura su obstinément préserver « un petit coin qui ne vibre
pas », qui regarde, analyse, mesure et juge. « “Je me marie… Notre amitié
demeure…” Je ne sais pas ce qui s’est passé. Je suis restée tout à fait
immobile et la chambre a tourné autour de moi. Dans mon côté, là où j’ai mal,
peut-être un peu plus bas, j’ai cru qu’on coupait la chair lentement avec un
couteau très tranchant. La valeur de toute chose a été brusquement
transformée. » M.S.
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