Les paradis artificiels, De Quincey, mangeur d'opium et fumeur de haschisch, signé Baudelaire
EAN13
9782814504271
Éditeur
PublieNet
Date de publication
Collection
ArchéoSF
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Les paradis artificiels

De Quincey, mangeur d'opium et fumeur de haschisch, signé Baudelaire

PublieNet

ArchéoSF

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782814504271
    • Fichier EPUB, libre d'utilisation
    • Lecture en ligne, lecture en ligne
    • Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
    • Fichier PDF, libre d'utilisation
    2.99
Et si Les paradis artificiels, dans l'oeuvre de Baudelaire, en était le seul
roman, le centre et le secret ?

Des limites intérieures de l'être, et comment les franchir. De l'énigme du
cerveau et des hallucinations.

À preuve le dispositif narratif : non pas traduire De Quincey, mais partir de
son histoire réelle (et écrite) pour en faire un personnage de l'ombre et de
la nuit.

Bien sûr, le goût de l'interdit : Baudelaire, qui défend les peintres maudits
dans ses Salons, mais bien en amont de la part la plus subversive des Fleurs
du mal, a trouvé une figure équivalente à celle de Poe. Et c'est leurs propres
expériences de poëtes, ici amplifiées, par le dérèglement des sens.

Alors c'est bien plus que le roman du haschisch : c'est la question posée du
rapport à l'excès.

Fascinante déambulation dans la nuit de Londres et d'Oxford, fascinante
analyse de l'ivresse dans la drogue, comme des tristes lendemains et de
l'asservissement. Et fascinante question posée à ces phrases qui semblent,
depuis l'expérience intérieure poussée à ses limites, surgir elles-mêmes de
l'ombre la plus opaque.

Et tout cela par ce prodige de conteur, jouant des personnages et des voix,
des livres, dans une des constructions en prose les plus hallucinatoires de
tout le XIXe siècle.

FB
S'identifier pour envoyer des commentaires.