- EAN13
- 9782402015561
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (L'école des loisirs)
- Date de publication
- 1986
- Collection
- Neuf en poche
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Parrain-Renard et autres contes d'animaux
Michèle Simonsen
FeniXX réédition numérique (L'école des loisirs)
Neuf en poche
Livre numérique
Les contes de ce recueil sont, à deux exceptions près, choisis dans le trésor
de la tradition orale française – bien que les mêmes récits se retrouvent,
sous une forme ou sous une autre, dans le reste de l’Europe. Le Conte des
trois boucs qui montaient à l’alpage est l’adaptation d’un conte norvégien, et
le Chat ventru une « randonnée » traduite du danois. Nous aurions aimé
fournir, pour chacun des récits de ce recueil, une notice sur le folkloriste
qui l’a recueilli et le conteur ou la conteuse qui le lui a fourni, comme nous
l’avons fait pour les contes merveilleux dans notre Jean le Teigneux et autres
contes populaires français. Cela n’est guère possible. Les collecteurs du
siècle dernier ont souvent publié ces petits contes, qu’ils ne tenaient pas
toujours en grande estime, sans indication sur leurs conteurs et dans une
langue bien éloignée du style oral. Souvent, il m’a fallu réécrire ces récits
pour les adapter au goût des enfants. Il n’y a donc pas lieu de parler de
collecte folklorique au sens propre du mot. Toutefois, nous avons transcrit à
peu près tels quels les contes de « La merlette et le renard », publié par
Jean-François Bladé, sans doute avec des retouches, dans ses « Contes
populaires de la Gascogne », 1886 ; et « Le demi-poulet », publié par Léon
Pineau, probablement avec beaucoup de fidélité, dans ses « Contes populaires
du Poitou » en 1891. Pour plus de renseignements sur cet éminent folkloriste,
nous renvoyons à la notice sur Jean le Sot dans notre Jean le Teigneux. M.S.
de la tradition orale française – bien que les mêmes récits se retrouvent,
sous une forme ou sous une autre, dans le reste de l’Europe. Le Conte des
trois boucs qui montaient à l’alpage est l’adaptation d’un conte norvégien, et
le Chat ventru une « randonnée » traduite du danois. Nous aurions aimé
fournir, pour chacun des récits de ce recueil, une notice sur le folkloriste
qui l’a recueilli et le conteur ou la conteuse qui le lui a fourni, comme nous
l’avons fait pour les contes merveilleux dans notre Jean le Teigneux et autres
contes populaires français. Cela n’est guère possible. Les collecteurs du
siècle dernier ont souvent publié ces petits contes, qu’ils ne tenaient pas
toujours en grande estime, sans indication sur leurs conteurs et dans une
langue bien éloignée du style oral. Souvent, il m’a fallu réécrire ces récits
pour les adapter au goût des enfants. Il n’y a donc pas lieu de parler de
collecte folklorique au sens propre du mot. Toutefois, nous avons transcrit à
peu près tels quels les contes de « La merlette et le renard », publié par
Jean-François Bladé, sans doute avec des retouches, dans ses « Contes
populaires de la Gascogne », 1886 ; et « Le demi-poulet », publié par Léon
Pineau, probablement avec beaucoup de fidélité, dans ses « Contes populaires
du Poitou » en 1891. Pour plus de renseignements sur cet éminent folkloriste,
nous renvoyons à la notice sur Jean le Sot dans notre Jean le Teigneux. M.S.
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