Le Caresseur aux doigts pervers
EAN13
9782362371547
Éditeur
Sabine Fournier
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Le Caresseur aux doigts pervers

Sabine Fournier

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782362371547
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    14.99
Elle avait une façon de me regarder de haut qui ne me plaisait pas. Elle «
faisait sa belle ». A un moment, elle a insinué à demi-mots qu’elle avait
connu des garçons, des grands qui l’emmenaient sur leur mobylette. Le pire,
c’est qu’elle avait grandi ! Elle était même un peu plus grande que moi.
Je craignais qu’elle ne réagisse plus à la formule magique, mais nous avons
repris nos jeux comme avant. Je l’entraînais dans le fenil, j’exigeais qu’elle
me montre ses seins tout neufs. Elle défaisait les boutons de son corsage dont
elle écartait les pans. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins
ressemblaient à des demi-pamplemousses d’un blanc laiteux. La peau était
presque transparente, on voyait de fines veinules sur les côtés. Ce qui
m’attirait le plus, c’étaient les aréoles d’un rose bistre, surmontées de
pointes qui devenaient grumeleuses au contact de l’air.
Je trouvais que c’était plus vicieux quand elle me regardait ; aussi, je la
forçais à le faire. Ça la gênait, mais elle finissait par céder. Elle me
regardait fixement, une lueur effrontée s’allumait dans ses prunelles.
D’abord, je frôlais les seins. C’était comme si un contact électrique la
traversait. Son souffle devenait rauque. Du bout des doigts, je lui caressais
la poitrine, guettant dans ses yeux la montée de l’excitation. Je soupesais
ses seins. C’était lourd ; ça se balançait quand je les laissais retomber.
Plus je lui pelotais les nichons, plus les pointes devenaient raides. Je
pinçais les deux tétons en même temps, puis je les tordais, les allongeais,
jusqu’à lui arracher une plainte ou des larmes. A la fin, elle me suppliait
d’arrêter : je lui faisais trop mal.
Je continuais. Ça me plaisait de la traire comme une vache, de la traiter en
esclave. Mon slip s’humidifiait. Elle ne cherchait pas à se dérober. Elle
subissait mes dures caresses.
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