- EAN13
- 9782307019145
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Éditions du centurion)
- Date de publication
- 1966
- Collection
- L'Église en son temps
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Vatican II (3). Chronique de la troisième session
Antoine Wenger
FeniXX réédition numérique (Éditions du centurion)
L'Église en son temps
Livre numérique
La troisième session du Concile fut la plus complexe et la plus difficile. La
chronique fidèle et complète du P. Wenger débrouille des fils conducteurs dans
cet écheveau de faits et de documents. Historien consciencieux, le P. Wenger
veut avant tout saisir la vie : celle des grands débats, des incidents et
aussi des alentours du Concile. Chroniqueur précis, il ne tait pas les crises
; il n’en oublie pas pour autant le travail profond et positif. Juste, il
donne la parole à toutes les tendances et à toutes les opinions, sans cacher
son propre sentiment. Témoin enfin, il communie aux espérances et aux
inquiétudes des uns et des autres et nous les fait partager. De l’intrigue qui
se noue et se dénoue dans ce grand drame, le journaliste raconte les faits et
campe les hommes. Mais théologien au meilleur sens du terme, il devine la
poussée de l’Esprit ; par touches discrètes, il évoque son émerveillement
devant le mystère, la grâce du Concile. « L’esprit est plus fort que tous les
ressentiments humains » car « l’heure du Concile est entre toutes l’heure de
Dieu ». Cette fois encore, le P. Wenger accorde une attention privilégiée aux
chances et aux obstacles qui jalonnent la route de l’unité. Tout naturellement
la Conférence panorthodoxe de Rhodes trouve place dans cette chronique.
D’autres pages introduisent le lecteur d’Occident, étonné, au patrimoine
spirituel et théologique de l’Orient ; cette contribution à l’œcuménisme tient
le plus à cœur à l’auteur. Cependant, il voit en même temps l’Église débattre
dans sa conscience tous les grands problèmes des hommes d’aujourd’hui : «
L’Église a des yeux et un cœur pour tous. »
chronique fidèle et complète du P. Wenger débrouille des fils conducteurs dans
cet écheveau de faits et de documents. Historien consciencieux, le P. Wenger
veut avant tout saisir la vie : celle des grands débats, des incidents et
aussi des alentours du Concile. Chroniqueur précis, il ne tait pas les crises
; il n’en oublie pas pour autant le travail profond et positif. Juste, il
donne la parole à toutes les tendances et à toutes les opinions, sans cacher
son propre sentiment. Témoin enfin, il communie aux espérances et aux
inquiétudes des uns et des autres et nous les fait partager. De l’intrigue qui
se noue et se dénoue dans ce grand drame, le journaliste raconte les faits et
campe les hommes. Mais théologien au meilleur sens du terme, il devine la
poussée de l’Esprit ; par touches discrètes, il évoque son émerveillement
devant le mystère, la grâce du Concile. « L’esprit est plus fort que tous les
ressentiments humains » car « l’heure du Concile est entre toutes l’heure de
Dieu ». Cette fois encore, le P. Wenger accorde une attention privilégiée aux
chances et aux obstacles qui jalonnent la route de l’unité. Tout naturellement
la Conférence panorthodoxe de Rhodes trouve place dans cette chronique.
D’autres pages introduisent le lecteur d’Occident, étonné, au patrimoine
spirituel et théologique de l’Orient ; cette contribution à l’œcuménisme tient
le plus à cœur à l’auteur. Cependant, il voit en même temps l’Église débattre
dans sa conscience tous les grands problèmes des hommes d’aujourd’hui : «
L’Église a des yeux et un cœur pour tous. »
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